Pour Aymeric SEASSAU, Adjoint à la lecture publique, si nous connaissons une progression des dotations, elle est essentiellement due à l’augmentation de la population prise en compte dans le calcul de la Dotation Globale de Fonctionnement. Mais, nous pouvons mesurer dès cette année l’impact de la contractualisation forcée. Ce système ubuesque va pénaliser notre budget 2019 de 500 000 € qui viennent s’ajouter au 25,5 millions d’€ perdu en 10 ans. Et la méthode est particulièrement perverse parce qu’elle vise à faire porter la responsabilité des difficultés budgétaires aux élu.e.s locaux qui n’auraient pas tenus leurs engagements. Et, dans le même temps, l’État refuse de prendre en charge les 6,4 millions d’euros qui lui incombe...