Depuis des mois, les associations, les riverains, les élu.e.s du territoire ont alerté sur la situation indigne vécue par des enfants, des femmes et des hommes migrants entassés dans ce gymnase dans des conditions d’insécurité et d’insalubrité extrême. Il aura fallu la mort d’un jeune homme de 32 ans pour qu’enfin la Préfecture commence a répondre aux injonctions du tribunal administratif. C’est ainsi que Robin SALECROIX a rappelé l’État à ses responsabilités.