Pour Robin SALECROIX, la transition écologique doit être un outil de développement, doit profiter à chaque Nantais.e.s quel que soit leur condition sociale. La tarification sociale de l’eau, celle des transports contribuent à ces objectifs, comme la mise en œuvre du réseau de chaleur dans l’habitat social. Elu.e.s Communistes et Républicains, nous avons l’ambition d’assumer toutes nos responsabilités en matière de transition écologique. Mais nous avons aussi l’ambition de faire en sorte que chacun assume les siennes.

Avec cette Charte « Ville Aidante - Alzheimer », nous posons une véritable question de santé publique que la ville de Nantes a appréhendé avec la Maison des aidants dont l’objectif prioritaire est d’apporter une aide de proximité aux aidants et aux malades confrontés à une maladie dégénérative, comme l’a rappelé Jean-Jacques MOREAU.

Comme l’a rappelé Marie-Annick BENATRE, au-delà de la mise en œuvre d’une promesse de campagne, avec la réalisation de ce centre de consultation post traumatique, notre majorité de gauche contribue concrètement à la lutte contre les violences faites aux femmes. Cette lutte est d’autant plus d’actualité au regard de l’horreur des 118 féminicides perpétrés depuis le début de l’année.

Intervention de Robin SALECROIX au conseil métropolitain du 04 octobre 2019 sur le voeu proposé pour l'ouverture des commerces le dimanche en 2020.

Intervention de Jean-Jacques MOREAU sur le développement de nouvelles lignes de tramway lors du conseil de Nantes Métropole du 4 octobre 2019.

Intervention de Robin SALECROIX au conseil métropolitain du 28 juin 2019 sur le fonds de compensation de l’aéroport de Nantes Atlantique.

Intervention de Jean-Jacques MOREAU au conseil métropolitain du 28 juin 2019 sur la desserte en Tramway de la Centralité Métropolitaine et la création de nouvelles lignes.

Intervention de Nathalie BLIN au conseil métropolitain du 28 juin 2019 sur L'Organismes de Foncier Solidaire dont la vocation est l’acquisition et la gestion du foncier et du bâti afin faciliter l’accès à la propriété pour des ménages.

Pour Marie-Annick BENATRE, Adjointe à la Santé, la Précarité et la Grande Pauvreté, les inégalités en termes d’accès à une alimentation saine et en quantité suffisante sont criantes dans notre pays, dans notre ville. C’est un sujet majeur pour un trop grand nombre de familles ou isolées, voire personnes âgées qui nous avouent réduire drastiquement leurs achats alimentaires, qui n’achètent plus de viande depuis longtemps,  qui comptent chaque euro dépensé ou sont obligés pour se nourrir de se tourner vers les associations caritatives. Ces privation engendre des inégalités de santé évidentes ; la nutrition est en effet un déterminant majeur de santé….

Robin SALECROIX revient sur le bilan d’activité et l’avis du Comité d’éthique lors de la mise en place du Centre de Supervision Urbain.

Marie-Annick BENATRE, Adjointe à la Santé Publique, la Précarité et la Grande Pauvreté, rappelle que l’association « Les Eaux Vives » a initié le projet « 5Ponts » situé au cœur de l’Île de Nantes. C’est un projet innovant en termes d’inclusion sociale, de prise en compte de tous les besoins fondamentaux des personnes accueillies. Parce que notre démarche conjugue la réponse au bien-être des personnes et une haute valeur ajoutée au développement durable, il est donc judicieux de s’inscrire dans cette labellisation EcoQuartier. Cet engagement permettra à notre collectivité de confirmer son rôle de garant d’un développement local, solidaire, au service des habitants y compris les plus fragilisés, les plus vulnérables.

Pour Aymeric SEASSAU, Adjoint à la lecture publique, si nous connaissons une progression des dotations, elle est essentiellement due à l’augmentation de la population prise en compte dans le calcul de la Dotation Globale de Fonctionnement. Mais, nous pouvons mesurer dès cette année l’impact de la contractualisation forcée. Ce système ubuesque va pénaliser notre budget 2019 de 500 000 € qui viennent s’ajouter au 25,5 millions d’€ perdu en 10 ans. Et la méthode est particulièrement perverse parce qu’elle vise à faire porter la responsabilité des difficultés budgétaires aux élu.e.s locaux qui n’auraient pas tenus leurs engagements. Et, dans le même temps, l’État refuse de prendre en charge les 6,4 millions d’euros qui lui incombe...